Le Tribunal de la Fédération italienne (FIGC) semble ainsi donner entièrement raison aux clubs qui contestaient les accusations du procureur fédéral d'avoir surévalué les prix de vente de certains joueurs et ainsi enregistré dans leurs comptes des plus-values non justifiées.
Les dirigeants risquaient une suspension
A l'ouverture de la procédure, mardi, le procureur avait notamment requis un an de suspension contre le patron de la Juventus Andrea Agnelli et 11 mois à l'encontre du président de Naples Aurelio De Laurentiis. Outre la Juventus et Naples, les 3 autres clubs de l'élite renvoyés étaient la Sampdoria, le Genoa et Empoli.
Les clubs concernés risquaient principalement une amende. Mais la soixantaine de dirigeants et représentants déférés à titre personnel risquaient des sanctions pouvant aller jusqu'à une suspension. L'ensemble des clubs contestaient les critères retenus par le procureur fédéral pour chiffrer la valeur des joueurs et remettre en question les prix effectivement payés lors des transferts.
agences/tai