"Il faut que les grandes équipes prennent au sérieux" la dernière née des compétitions européennes, clame l'entraîneur portugais, qui ne bouderait pas un 5e titre continental après ses 2 Ligues des champions (2004 avec Porto, 2010 avec l'Inter) et ses 2 Ligues Europa (2003 avec Porto, 2017 avec Manchester United).
"Quand la compétition a débuté, il y a eu quelques critiques. Mais on a vu des demi-finales avec 70'000 personnes à Rome, des stades pleins à Marseille ou Leicester, cette compétition devient importante parce que des équipes comme nous la prennent au sérieux".
La Roma vise un 1er trophée européen
La Roma peut y gagner un 1er trophée européen après 2 finales perdues (1984 en CL, 1991 en Coupe UEFA), si on excepte le succès en 1961 dans la Coupe des villes de foires, ancêtre officieux de l'Europa League.
Mourinho peut lui redorer son blason de vainqueur, après l'expérience mitigée à Tottenham, lui qui n'a jamais perdu de finale européenne (hors les Supercoupes UEFA, perdues 3 fois).
afp/tai
Feyenoord vise un 4e titre européen
Les Néerlandais ont résisté à l'Olympique de Marseille en demi-finales retour (0-0, après la victoire 3-2 à l'aller) pour tenter de viser un 4e titre européen, après celui en C1 (1970) et les deux C3 (1974 et 2002).
Outre leur organisation solide et leur pressing constant, ils comptent le meilleur buteur de la compétition, Cyriel Dessers (10 buts). "On ne craint pas la Roma", assure sur le site de l'UEFA le Belgo-Nigérian, devenu le chouchou des supporters.
Conference League: finale
(25.05)
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