Le ministère justifie sa décision par le fait que les déplacements du FC-Bâle seraient "fréquemment sources de troubles à l'ordre public". D'autre part "certains supporters" de l'OGC Nice "adoptent fréquemment un comportement violent", "aux abords et dans l'enceinte des stades", ajoute le ministère de l'Intérieur.
"Les relations entre les supporters" des 2 équipes "qui partagent une idéologie politique opposée, sont empreintes d'animosité", poursuit la place Beauvau, précisant qu'en amont du match aller à Bâle, le 13 avril, "les supporters à risque des 2 équipes ont pris contact et prévu de s'affronter".
Le jour de cette rencontre, il y a eu "un usage massif d'engins pyrotechniques" et "des incidents et provocations ont été relayés sur les réseaux sociaux, sans toutefois que les affrontements programmés aient lieu", ajoute le ministère. Selon lui, il est à craindre que le match retour de jeudi "soit le théâtre de ces affrontements".
ats/nm