Eliminé l’an dernier en quarts de finale avec le Bayern Munich face à Manchester City dans une double confrontation où il ne fut pas vraiment à son avantage, Yann Sommer échappe, cette fois, à toute critique.
Il a réussi cinq arrêts qui ont compté lors de ce match retour que l’Inter n’aurait jamais dû laisser échapper. Le probable futur champion d’Italie avait ouvert le score à la 33e par l’ex-Sédunois Federico Dimarco.
Mais deux minutes plus tard, une erreur de Benjamin Pavard a permis à Antoine Griezmann de remettre l’Atlético dans le match.
Les Intéristes se ratent aux tirs au but
Yann Sommer a été battu une seconde fois à la 87e sur une frappe imparable de Memphis Depay. Introduit à la 79e, le Néerlandais a été le grand homme de cette fin de rencontre.
Lors de la séance des tirs au but, Yann Sommer a arrêté la frappe de Saul Niguez. Seulement, son homologue Jan Oblak a détourné les tirs d’Alexis Sanchez et de Davy Klaassen avant que le capitaine Lautaro Martinez, le dernier frappeur de l’Inter, n’allume le ciel de Madrid.
ats/pza
Kobel et Dortmund en quarts
Gregor Kobel disputera pour la première fois de sa carrière un quart de finale de la Ligue des champions. Le Zurichois a été l’un des artisans de la qualification du Borussia Dortmund. Devant leur public, les Allemands se sont imposés 2-0 face au PSV Eindhoven après avoir partagé l’enjeu (1-1) lors du match aller que Gregor Kobel, alors blessé, n’avait pas disputé.
Le Borussia a forcé la décision sur des réussites de Jadon Sancho (3e) et Marco Reus (95e). S’il n’a pas dû réussir l’arrêt qui change tout, Gregor Kobel a laissé une très grande impression. Irréprochable dans son jeu au pied, il a, surtout, très bien lu le jeu adverse pour s’interposer très proprement sur les tentatives des Néerlandais.