No1 en équipe de Suisse devant l'ambitieux Gregor Kobel, Yann Sommer a souffert avec son collègue et rival: "Nous avons tous tenu les pouces à Greg. Dommage que cela n'ait pas marché, nous pensions que Dortmund aurait pu faire beaucoup mieux en première mi-temps", a-t-il souligné dimanche matin en conférence de presse.
Sur une échelle de un à dix, le dernier rempart de l'Inter Milan a donné à Kobel "un bon huit" pour sa performance en finale. "Il a fait un bon match et livré un sans faute". De toute façon, atteindre la finale de la Ligue des champions est déjà une excellente performance en soir dont Kobel peut être fier, a-t-il encore relevé.
Sommer a pu constater cette saison à quel point il est difficile d'aller aussi loin à ce niveau. En 8e de finale, le futur champion d'Italie a cédé face à l'Atlético Madrid sur un but en prolongation. Une confrontation directe entre les deux gardiens suisses en quart de finale avait ainsi été évitée de justesse.
ats/bur