Dans le groupe A, l'Olympiakos s'accroche à un infime espoir de qualification mais n'a plus son destin en mains. Il doit s'imposer contre Malmö tout en comptant sur une défaite des Turinois. Autant dire qu'il lui faudrait un miracle pour réussir son coup et qu'il se dirige plus vraisemblablement vers une place en Europa League. Suffisant pour faire oublier les soucis judiciaires du club le plus titré du pays dont le président, Evangelos Marinakis, vient d'être mis en examen pour des soupçons de matches truqués?
Un point suffit
Le petit coup d'arrêt subi en Serie A contre la Fiorentina (0-0) ne devrait pas trop entamer le moral de la Juventus, qui a quasiment déjà un pied au prochain tour. Alors que l'Atlético Madrid a son billet en poche et vise la première place, la Juve n'a besoin que d'un point pour parvenir à ses fins et peut même se permettre de perdre si l'Olympiakos ne gagne pas.
si/adav
Monaco y est presque
Dans le groupe C, c'est le grand soir pour l'AS Monaco qui peut se contenter d'un nul pour retrouver les 8es de finale, dix ans après sa dernière apparition et rejoindre le Paris SG. Le moral est au beau fixe sur le Rocher après 2 victoires de rang et Dimitar Berbatov, auteur d'un doublé à Toulouse (2-0) vendredi, semble en pleine forme. Mais attention aux Russes qui ont écrasé Krasnodar 4-0 et dominent assez largement leur championnat. De son côté, le Bayer disputera quoi qu'il arrive les 8es de finale mais doit encore sécuriser sa 1ère place face à Benfica.
Arsenal pour retrouver le calme
Arsenal est déjà qualifié dans le groupe D avec le Borussia Dortmund. Les Gunners verront pour la 15e année consécutive les rencontres à élimination directe. Mais Arsène Wenger ne peut pas négliger le voyage à Istanbul pour y affronter Galatasaray. Il y a d'abord un statut de tête de série, certes très hypothétique, à aller chercher. Le technicien français doit ensuite éteindre le feu qui couve autour de lui, provoqué par des résultats pas vraiment à la hauteur en Angleterre.