Les deux équipes étaient déjà qualifiées après les deux premières journées et lorgnaient la tête du groupe pour ne croiser, si possible, qu'en finale les champions du monde et d'Europe espagnols.
Neymar moins tranchant
Neymar au premier chef: il a inscrit son troisième but en trois matches d'un coup franc somptueux, qu'il avait lui-même obtenu (55e).
Ce n'était cependant pas le Neymar vu contre le Mexique. Dans le jeu, hormis quelques accélérations au milieu de terrain, il était cette fois plus discret, moins incisif; un peu émoussé peut-être.
L'Italie ne renonce pas
La deuxième star sur le terrain, c'était Balotelli. Il a magnifiquement lancé sur la droite, d'un aile de pigeon, Giaccherini qui égalisait en croisant bien sa frappe (51e), et son coup franc serait allé en pleine lucarne sans l'intervention de Julio Cesar (61e).
Les Brésiliens contrôlaient la partie et proposaient le plus de mouvement, de vitesse. Les Italiens, eux, ne sont montés d'un cran qu'après le 2-1 de Neymar. Ils ne se créaient cependant guère d'occasions autres que sur corners.
afp/bond
Classement
1. BRESIL 3 3 0 0 9- 2 9
2. ITALIE 3 2 0 1 8- 8 6
3. Mexique 3 1 0 2 3- 5 3
4. Japon 3 0 0 3 4- 9 0