"Donc dès le premier jour, le 27 février, il faut commencer à mettre en oeuvre les réformes, et en le faisant tous les jours à l'UEFA je sais ce que cela veut dire - une bonne gouvernance, la transparence financière, des structures de changement sont dans le projet", a ajouté Infantino, alors qu'il venait d'avoir une conversation avec l'un de ses rivaux dans la course à la présidence de la FIFA, le cheikh Salman du Barheïn.
Appel à l'unité
L'actuel secrétaire général de l'UEFA a appelé à l'unité parmi les 209 membres de la FIFA. "Ce dont le football a besoin, c'est d'un débat sain sur son futur. Tant que l'on peut faire cela de manière constructive, ce sera bien", a-t-il confié.
"Il y aura des réformes et il y aura un changement de direction et c'est le bon moment parce que je pense que c'est vraiment important que lorsqu'on parle de la FIFA, on parle à nouveau de football", a-t-il ajouté.
agences/tai
Infantino soutenu par l'Amérique du Sud
Gianni Infantino a lui reçu le soutien de la Confédération sud-américaine de football (Conmebol) jeudi dernier. C'est également le principal candidat européen depuis la suspension temporaire de Michel Platini, actuel président de l'UEFA, par la commission d'éthique de la FIFA dans le cadre d'un large scandale de corruption qui la frappe au plus haut niveau.
Gianni Infantino a toutefois assuré qu'il retirerait sa candidature à la présidentielle de la FIFA si Michel Platini était finalement autorisé à se présenter.