"Il est naïf de croire que la FIFA peut savoir tout ce qui se passe dans le monde entier lors des transferts", dit-il. Le président rappelle que "si quelqu'un ne paye pas d'impôts, roule en état d'ébriété ou commet un excès de vitesse, la FIFA n'est pas responsable".
"Toute cette opacité, qu'elle soit réelle ou apparente, montre que nous devons regarder tout cela de plus près", a toutefois confié le dirigeant dans un entretien au groupe de médias European Investigative Collaborations. "Nous devons mener un grand travail de réflexion." Un comité avec tous les acteurs du monde du football se réunira ainsi en janvier.
"J'ai tendance à croire qu'une majorité de gens, et donc aussi le système des transferts, sont honnêtes. En tout cas, je l'espère. Mais ce n'est pas une raison pour ne pas essayer, sans cesse, d'augmenter et d'améliorer les mécanismes de contrôle."
ats/lper