Messi et son père Jorge avaient été condamnés en juillet 2016 pour des irrégularités portant sur 4,16 millions d'euros provenant des droits à l'image perçus entre 2007 et 2009 à travers un réseau complexe de sociétés.
La peine de prison ne devrait pas être exécutée, comme c'est en général le cas en Espagne pour les condamnations inférieures à deux ans, d'autant que les deux hommes n'ont pas de casier judiciaire.
Des amendes revues à la baisse
La Cour suprême a également confirmé l'amende de 2,1 millions d'euros infligée au footballeur. Elle a en revanche revu à la baisse la peine de prison de son père, à 15 mois de prison contre 21 initialement, et son amende à 1,3 million d'euros contre 1,6 millions, estimant que le remboursement rapide par son fils de la somme due au fisc espagnol constituait une circonstance atténuante.
Entre 2007 et 2009, Messi avait signé des contrats avec Adidas, Pepsi ou Danone, mais jamais à titre personnel, utilisant à la place des sociétés écran.
agences/bond