A l'heure de jeu, Griezmann est touché dans la surface australienne mais le jeu continue brièvement quand l'arbitre uruguayen Andres Cunha interrompt le jeu et se dirige sur le bord pour terrain pour visionner les images.
La veille, l'arbitre de Portugal-Espagne (3-3) Gianluca Rocchi, avait eu recours à une "vérification sans visionnage", mais pas à l'assistance vidéo à l'arbitrage (VAR) proprement dite, avait indiqué samedi matin la FIFA.
Le premier usage du VAR:
Gr.C, France – Australie (1-0) : 58e, ouverture du score de Griezmann sur penalty
"Pas réarbitrer avec la technologie"
Le VAR est le grand pari de Gianni Infantino. Réputé "sceptique" à l'origine, le président de la FIFA s'est rapidement transformé en très ardent défenseur du dispositif.
"Il s'agit d'éviter les erreurs majeures et manifestes, pas de réarbitrer avec la technologie. L'objectif n'a jamais été de vérifier chaque incident mineur et il y aura toujours des cas où différentes opinions seront possibles", a rappelé en avril Pierluigi Collina, président de la commission des arbitres FIFA.
Les explications sur le VAR:
afp/sey
Un clin d'oeil français
La première utilisation du VAR dans une Coupe du monde sur une action française est un clin d'oeil à l'histoire. Lors de la Coupe du monde 2014 au Brésil, la technologie sur la ligne de but (la goal line technology) avait été utilisée pour la 1re fois en Coupe du monde pour un but accordé à Benzema face au Honduras.