Cette aide technologique, déjà testée dans plusieurs compétitions depuis 2016, porte uniquement sur 4 cas: valider ou non un but, attribuer ou non un carton rouge, analyser une action pouvant valoir penalty, et corriger une erreur d'identification d'un joueur sanctionné.
Après cette phase de tests le Board est arrivé à la conclusion que la VAR est bonne pour le football et l'arbitrage. Gianni Infantino a toujours soutenu l'introduction de la VAR. L'UEFA est en revanche plus circonspecte: son président Aleksander Ceferin a annoncé lundi qu'elle ne serait pas utilisée lors de la Ligue des champions 2018-2019.
agences/savi
Trois mois pour être prêt
Le corps arbitral international a désormais 3 mois et demi pour huiler la communication entre les assistants vidéo et l'arbitre central en vue du Mondial. L'autorisation d'un 4e remplacement pour une équipe en cas de prolongation a également été actée.