"Pour l'instant, ces sanctions me font rire car elles ne sont pas définitives", a-t-il poursuivi. "Ce n'est que quand la décision finale tombera que je pourrai dire ce qui me fait mal."
La ligne de défense de Christian Constantin, relayée ces derniers jours par son avocat Alexandre Zen-Ruffinen, consiste notamment à décrédibiliser la procédure engagée par la SFL. "La décision prise l'a été alors que je n'ai ni été reçu ni entendu par la commission de discipline", a regretté le Martignerain, qui a par ailleurs fustigé le quotidien zurichois Blick.
Aucun regret exprimé
"Le Blick a voulu agir sur la décision (de la commission) en sortant des articles tronqués", a-t-il encore accusé, tout en continuant de refuser de s'excuser ou d'exprimer des regrets. "Je n'ai pas à me faire justice moi-même. Mais je n'ai pas non plus à me laisser faire. Je ne dis pas que ce que j'ai fait, c'était bien. Mais c'était une réaction humaine, dans une situation qui me cassait les cou..."
ats/scho