Des proches du club contactés par la TDG, mais qui préfèrent conserver l'anonymat, évoquent même l'idée d'un dépôt de bilan. Il semble acquis que les 3 millions de francs que pourraient verser les investisseurs de la nouvelle patinoire le jour où ils recevront le feu vert des autorités ne suffiront pas à redresser les finances du club.
Le passé du président Hugh Quennec n'incite, par ailleurs, guère à l'optimisme. Il y a 3 ans, sa gestion calamiteuse à la tête du Servette FC avait entraîné la relégation administrative du club en Challenge League.
Pas de sanctions pour le moment
Contactée, la Fédération (SIHF) affirme être consciente de la situation difficile du club. Elle s'efforce d'accompagner ses dirigeants dans ces temps ardus. Elle précise qu'il n'y a aucune raison aujourd'hui d'infliger des sanctions.
La TDG laisse cependant entendre que les joueurs étrangers n'auraient pas été rémunérés complètement, et que les charges sociales seraient en souffrance.
ats/tai