Cet argent frais doit permettre de "payer les factures les plus urgentes", souligne le communiqué, qui précise que les salaires de janvier 2018 ont bien été versés. Des pourparlers ont également été entamés avec la Ville de Genève "pour le paiement du loyer de 2017", est-il expliqué.
Le GSHC affirme par ailleurs que le déficit maximal prévu pour l'exercice en cours sera "au pire" de 6 millions de francs. C'est d'ailleurs la première fois que le club reconnaît publiquement l'existence d'un déficit et le montant de celui-ci.
Départ de joueurs?
Un montant qui ne tient pas compte des éventuels revenus liés aux playoff, "ni des mesures d'économies qui sont en train d'être mises en place". Sans doute faut-il entendre par là le départ de quelques joueurs. Une mesure qui ne s'annonce ni aisée à appliquer, ni populaire à 15 jours de la fin de la période des transferts.
Cette somme de 6 millions inclut en revanche en partie les frais liés au développement de la nouvelle patinoire. Cela signifie donc que les trois millions promis par les investisseurs du projet du Trèfle Blanc pourraient venir alléger la dette de moitié.
Le club genevois, dont les observateurs attendaient qu'il annonce une vente d'actions de la part de Quennec, assure enfin qu'une solution sur le long terme devrait être finalisée "au cours des prochaines semaines". Il explique que plusieurs options sont à l'étude, "indépendamment ou en lien avec le projet de la nouvelle patinoire", souligne encore le communiqué.
ats/alt
Pas de vente d’actions. Voici le communiqué officiel. pic.twitter.com/MkO1xVgfRD
— Patrick Andrey (@andrey_patrick) 16 janvier 2018