En attendant la diffusion du magazine de la rédaction, voici quelques clichés rapportés de Transnistrie par Fred Scola et son caméraman Serge Cherruault ainsi que quelques éléments de contexte.
Une des choses sympas lors d'un reportage aussi loin de la Suisse, c'est de tomber totalement par hasard sur une "vieille" connaissance... Igor Dobrovolski dont les fans de Servette et de l'OM se souviennent sans doute... Aujourd'hui, il est coach du FC Dinamo-Auto Tiraspol, club voisin du Sheriff.
Pour arriver en Transnistrie, il faut passer à l'est du fleuve Dniestr, la frontière naturelle avec la Moldavie. On plonge dans une ambiance très soviétique, en compagnie de Serge Cherruault et de Cristian Jordan, journaliste moldave, notre "fixeur" pendant ce reportage. Un fixeur est celui qui accompagne un journaliste, une équipe de tournage dans son pays où il maîtrise le terrain, les codes, les enjeux.
À droite, le drapeau de la Transnistrie avec la faucille et le marteau...
Le drapeau de la Moldavie est, lui, invisible... En revanche, on peut voir les drapeaux de l'Abkhazie, de l'Ossétie du Sud-Alanie et du Haut-Karabagh, seuls "États" (pas pour l'ONU) à avoir reconnu la Transnistrie.
Le "clou du spectacle" du Sheriff: ce stade couvert pouvant accueillir 5'000 personnes et s'ajoutant à leurs 2 autres stades extérieurs de 15'000 et 8'000 places ainsi qu'à leurs... 15 terrains d'entraînement! Une folie qui n'est pas sans poser quelques questions... La suite à découvrir dans Sport Dimanche!
Fred Scola et Serge Cherruault, bao