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Rochette critique l'arbitre de Suisse-USA

Stéphane Rochette, un ancien arbitre critique. [Salvatore Di Nolfi]
Stéphane Rochette, un ancien arbitre critique. - [Salvatore Di Nolfi]
Hockey sur glace et football font les grands titres de la presse helvétique en ce début de semaine. Stéphane Rochette critique l'arbitrage de Suisse-USA, alors que le FC Sion réalise une "série historique" et que la fin du suspense au Lausanne-Sport doit prendre fin aujourd'hui.

"Le Matin" revient tout d'abord sur la défaite frustrante de l’équipe de Suisse face aux USA (3-2) samedi au Championnat du monde à Minsk.

Les deux buts helvétiques annulés à tort ont fait beaucoup jaser. "C'est tout simplement incroyable", réagit Stéphane Rochette, le désormais ancien arbitre de Ligue nationale A.

"Il n'y a certes aucun règlement qui interdit aux arbitres de revenir sur leur décision, mais tout était pourtant très clair. Je n'avais jamais vu ça. Cet arbitre (ndlr: le Russe Roman Gofman, 29 ans) a pris des décisions bizarres durant toute la rencontre".

Le match Simpson-Hanlon

Ce n'est pas (encore?) la mine des grands jours pour Sean Simpson ( à droite). [KEYSTONE - Salvatore di Nolfi]
Ce n'est pas (encore?) la mine des grands jours pour Sean Simpson ( à droite). [KEYSTONE - Salvatore di Nolfi]

Cet après-midi, ce sera "vaincre ou sombrer", selon le quotidien orange. Le match face au Bélarus se disputera dans un contexte spécial puisque

Glen Hanlon

, coach de la formation bélarusse, est appelé à succéder à

Sean Simpson

.

"Les équipes de Hanlon jouent de manière très inspirée et pratiquent un gros forechecking", avertit Simpson dans le "Blick". Les deux hommes se connaissent très bien, Simpson ayant été l'assistant de Hanlon au... Bélarus en 2006.

"Glen est un entraîneur très méticuleux. Il veut être au courant de tous les détails parce qu'il n'aime pas les surprises. Il saura ainsi tout ce qui l'attend", poursuit Simpson.

"Je ne possède pas de potion magique"

"Une série historique", titre "Le Nouvelliste". Raimondo Ponte est en effet devenu le premier entraîneur du FC Sion "à enchaîner quatre succès de rang depuis... 2006, année de la promotion sédunoise en Super League". Les Valaisans ont battu Thoune (3-1) avec la manière.

"Je ne possède ni baguette, ni potion magique", souligne Raimondo Ponte. "Je demande seulement de la simplicité  comme le réclame le football".

Du côté de Lausanne, victorieux 4-3 à Lucerne, la question est de savoir si Marco Simone restera ou non à la tête du club vaudois en Challenge League. "Vous le saurez aujourd'hui", a répondu l'Italien dans "Le Matin"

"Je n'ai pas ressenti de douleur"

Senderos (à droite) retrouve la pleine possession de ses moyens juste à temps. [KEYSTONE - JAVIER ETXEZARRETA]
Senderos (à droite) retrouve la pleine possession de ses moyens juste à temps. [KEYSTONE - JAVIER ETXEZARRETA]

"Philippe Senderos est officiellement de retour", se réjouit "La Tribune de Genève". Le défenseur genevois de Valence a disputé l’intégralité de la rencontre samedi à Levante.

"Tout s'est bien passé, malgré la défaite 2-0. Je suis content d'avoir joué sans rencontrer le moindre problème physique durant les 90 minutes", explique l'international suisse. "Je n'ai pas ressenti de douleur, tout va bien".

A quelques heures de l'annonce, ce mardi à 11 heures, des sélectionnés pour le Brésil, Senderos reste serein. "J’ai l'esprit libre, juste heureux d’avoir rejoué et j'attends bien sûr la sélection comme tous les internationaux".

Plus de 5000 Suisses iront soutenir la Nati

"Le Brésil et le football font rêver, y compris les Suisses", note "Le Matin". "Dès le 12 juin,les fans rouge et blanc seront des milliers à traverser l'Atlantique pour soutenir la Nati durant son parcours au Mondial. Combien exactement? Jusqu'à présent, la seule estimation avancée table sur plus de 5000".

"Olympic, c'est du costaud", titre "La Liberté" dans un autre registre. Victorieux 98-87 de l’acte 3 de la finale de LNA, les basketteurs de Fribourg mènent désormais 2-1 face à Lugano.

"Nous perdons alors que nous avons marqué 87 points. Ce n’est pas possible!", peste Andrea Petitpierre, le coach des Tessinois, qui s'étonne du peu d'agressivité défensive de son équipe.

Stéphane Altyzer

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