"Diego dit tschüss", annonce Blick qui a recueilli plusieurs réactions. "Un super gardien, qui nous a sauvés beaucoup de match. Sa personnalité était très importante pour l'équipe", explique
Tranquillo Barnetta
, alors que
Roman Bürki
laisse échapper un "dommage". "En raison de son caractère, de sa classe",
poursuit le portier amené à devenir le no2 de l'équipe de Suisse derrière Yann Sommer.
"Un grand vide hors du terrain"
Le journaliste du Matin Mathieu Aeschmann souligne dans son commentaire toute l'importance de celui qui "va laisser un plus grand vide hors du terrain qu'entre les poteaux", où le talent de Sommer saura s'exprimer pleinement. Il salue un homme "discret, fiable, habile diplomate", qui a fait le choix de se concentrer sur son club et de passer plus de temps avec sa famille après un Mondial fort en émotion.
"Une mauvaise nouvelle au mauvais moment" pour le sélectionneur Vladimir Petkovic, lit-on dans 20 Minuten. Mais le successeur d'Ottmar Hitzfeld convient néanmoins de sa chance que la Suisse soit bien pourvue à ce poste. De quoi atténuer un peu les regrets du trentenaire aux 61 sélections.
"Un honneur" pour le GSHC, un "défi supplémentaire" pour Nyffeler
"C’est un honneur pour Genève de participer à une telle compétition", estime le coach Chris McSorley qui "n'utilisera pas ces matches pour mieux préparer le championnat mais pour les gagner". Le ton est donné dans la Tribune de Genève. Le GSHC, qui reçoit le club suédois de Frölunda jeudi soir aux Vernets, aborde la nouvelle Ligue des champions avec des ambitions.
La Liberté
se penche elle sur le "talent à polir"
Melvin Nyffeler
, doublure du portier Benjamin Conz dans le but du
HC Fribourg-Gottéron
. "C’est un tournoi de bon niveau, un défi supplémentaire", se réjouit le Zurichois de 19 ans qui découvrira en soirée la CHL du côté de Stockholm face à Djurgarden et apprécie la saine concurrence avec Conz.
JuraDéfi et Grand Raid en anecdotes
Le JuraDéfi (23.08), une course qui se décline en six disciplines, est à l'honneur dans L'Express/L'Impartial et le Journal du Jura, qui donne la parole aux six membres de la "fine équipe". Ceux-ci, quasiment tous hockeyeurs et présents pour la quatrième fois dans l'épreuve franc-montagnarde, se souviennent notamment de la dernière édition disputée dans des conditions dantesques: "c'était une course de haute voltige. Parfois, la route était aussi glissante que sur la glace".
Le Nouvelliste revient avec Charly Sierro, l'un des initiateurs du Grand Raid qui soufflera samedi ses 25 bougies, sur les anecdotes marquantes des 24 premières éditions de cette mythique course de VTT entre Verbier et Grimentz.
Ludovic Perruchoud