"Je ne vais m'épargner aucun effort pour le succès des Jeux de Tokyo", a déclaré Mme Hashimoto juste après sa nomination, intervenant à bientôt cinq mois de l'ouverture prévue de l'événement planétaire, qui avait été reporté l'an dernier à cause de la pandémie de Covid-19.
Seiko Hashimoto s'est rapidement dégagée comme la grande favorite pour succéder à M. Mori. Celui-ci a été poussé vers la sortie pour avoir déclaré début février que les femmes parlaient trop longtemps durant les réunions, ce qu'il trouvait "embêtant".
Les propos de cet ancien Premier ministre japonais de 83 ans avaient été vivement condamnés, au Japon comme à l'étranger. Le CIO avait tardivement jugé qu'ils étaient contraires aux valeurs de l'olympisme, notamment sur l'égalité des sexes, et des sponsors des JO avaient aussi mis la pression pour accélérer le départ de M. Mori.
agences/scho