Le Comité d'organisation a déclaré qu'un homme d'une trentaine d'années qui avait participé au relais sur l'île de Shikoku avait été testé positif, sans préciser ni son rôle, ni son identité. Il s'est engagé à travailler avec les autorités médicales pour "prendre les précautions nécessaires pour organiser un relais de la flamme en toute sécurité", alors que les JO doivent s'ouvrir le 23 juillet.
En toute sécurité, selon les organisateurs
Il s'agit du premier cas signalé en liaison avec le relais de la flamme olympique, qui a été interdit d'accès sur la voie publique dans certaines zones par crainte de la propagation du virus.
Les organisateurs insistent sur le fait que le relais peut être organisé en toute sécurité dans le cadre de règles antivirus très strictes. Ils ont prévenu que certaines parties du relais pourraient être suspendues si trop de spectateurs se rassemblent en un même lieu.
agences/lper
Les athlètes interdits de protestation sur les podiums
Les athlètes auront interdiction de protester sur les podiums et les terrains de sport des Jeux olympiques de Tokyo et des Jeux d'hiver de Pékin, en vertu des recommandations de la commission des athlètes. Plus des deux-tiers des 3547 sportifs interrogés ont jugé qu'il n'était pas approprié de manifester ou d'exprimer son point de vue sur le podium, sur un terrain ou lors de cérémonies officielles.