Le Comité national olympique néo-zélandais a confirmé jeudi que Laurel Hubbard avait de fortes chances d'être retenue pour les prochains Jeux olympiques. Celle-ci affiche par ailleurs un taux de testostérone suffisamment bas pour concourir en tant que femme.
Les scientifiques avaient critiqué cette décision, affirmant qu'elle ne changeait rien au fait que les athlètes transgenres nés en tant qu'hommes ont des avantages en densité osseuse et musculaire.
Le titre remporté par Laurel Hubbard aux Jeux du Pacifique 2019 avait suscité la polémique. Son exclusion, finalement non mise en œuvre, avait même été envisagée pour les Jeux du Commonwealth de 2018.
ats/fg
Campagnes dans de nombreux pays
Des campagnes de vaccination pour les athlètes susceptibles de se rendre à Tokyo ont déjà démarré dans de nombreux pays, comme en Belgique, en Italie ou en France. En Australie, les sportives et sportifs vont même se faire vacciner en priorité, ce qui a créé la polémique alors que tous les enseignants et travailleurs de santé n'ont pas encore reçu leur 2e dose.