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Le KERS est maintenu pour la saison prochaine

Les monoplaces n'auront plus le droit de ravitailler en 2010.
Les monoplaces n'auront plus le droit de ravitailler en 2010.
Nouveau revirement au sein de la Fédération internationale de l'automobile (FIA). Le KERS, qui devait être abandonné à la fin de la saison, sera conservé en 2010. Changement en revanche sur la procédure des qualifications.

Le KERS, un système transformant l'énergie des freinages en
chevaux supplémentaires, sera autorisé en 2010 alors qu'il devait
être abandonné à la fin de cette saison, selon le règlement 2010
mis en ligne par la FIA. Les procédures en qualifications ont quant
à elle changé.



Au lieu de voir disparaître les cinq voitures les plus lentes
après la Q1 et la Q2, pour conserver les dix plus rapides en Q3,
comme cela se faisait en 2009, où vingt monoplaces concourraient,
huit disparaîtront en Q1 et Q2 en 2010, selon la FIA, qui table sur
un Championnat à treize équipes.

Interdiction des ravitaillements confirmée

Si douze écuries seulement, représentant 24 autos, demeuraient
inscrites, comme cela semble être le cas, BMW ayant annoncé son
retrait mi-juillet, sept voitures ne seraient plus qualifiées après
la Q1 et la Q2.



L'interdiction des ravitaillements en essence sera bel et bien en
vigueur en 2010, comme prévu de longue date. Plus aucune mention de
Championnat à deux vitesses n'apparaît dans le règlement de la
prochaine saison, conformément aux voeux de la Fota, l'association
des écuries de F1.



si/alt

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Règlement inchangé sur l'attribution du titre

L'actuel mode d'attribution du titre - au pilote ayant inscrit le plus grand nombre de points - est maintenu, tout comme le système de points lui-même, qui voit le vainqueur en remporter 10, le deuxième 8, le troisième 6, le quatrième 5, le cinquième 4, le sixième 3, le septième 2 et le huitième 1.

Avant le début du Championnat 2009, la FIA avait décidé que le champion serait le pilote ayant gagné le plus grand nombre de courses, avant de se rétracter sous la pression des écuries. L'argentier de la F1, Bernie Ecclestone, s'était quant à lui dit favorable à un système de médailles.