C'est en 2005 qu'Alonso entre dans le coeur des aficionados. Avec 7 victoires, il remporte son premier titre de champion du monde, l'hégémonie de Michael Schumacher prend fin. Il récidive l'année suivante, en réalisant le doublé, toujours au volant d'une Renault. Son ère semble lancée.
Mais Alonso décide de rejoindre McLaren, avec qui il ne fait mieux que 3e. Il se rapproche du titre avec Ferrari mais est battu d'un rien par Vettel en 2010 et 2012. C'est d'ailleurs avec Ferrari, en 2013, qu'Alonso décroche la dernière de ses 32 victoires, comme un symbole, chez lui en Espagne.
Trois records de précocité
Fernando Alonso, a marqué son époque de par sa préocité. A 21 ans et 7 mois, il devient le plus jeune poleman de l'histoire (record aujourd'hui détenu par Sebastian Vettel). A 22 ans, il devient le plus jeune vainqueur en Grand Prix (record battu par Max Verstappen). A 24 ans, Alonso devient le plus jeune champion du monde (battu depuis par Sebastian Vettel).
afp/pza
Marquer l'histoire
Frustré d'être en queue de peloton avec McLaren et désireux de marquer l'histoire du sport auto, Alonso veut remporter la "triple couronne" - GP de Monaco F1, déjà dans son escarcelle, 24 Heures du Mans et 500 Miles d'Indianapolis.
En 2018 et 2019, il remporte les 24 Heures du Mans et le titre de champion du monde d'endurance, avec Toyota. Mais il échoue à Indianapolis.