Sa confiance repose sur "des négociations, qui sont menées actuellement et qui sont proches de se conclure. Encore une fois: je suis persuadé, que le sauvetage va marcher. Nous n'allons pas arrêter à la fin de cette saison... Nous serons encore présents en Formule 1 de nombreuses années", se persuade le Zurichois.
Qui va injecter l'argent nécessaire ? Sur ce point, Sauber reste dans le vague. Il consent à confirmer qu'il s'est rendu deux fois à Moscou en compagnie de sa cheffe d'équipe Monisha Kaltenborn. Sauber reconnaît aussi avoir mis de l'argent de sa fortune personnelle dans l'écurie.
Vendre l'écurie, "une possibilité"
Même si l'entrepreneur zurichois ne veut pas donner de chiffre, il conteste vivement celui de 100 millions de dettes paru dans la presse. Sauber a également démenti l'existence d'un ultimatum posé par Ferrari, qui serait fixé au 29 juillet, date à laquelle l'écurie helvétique devrait avoir réglé 8 de ses 19 millions d'arriérés pour la livraison des moteurs.
La vente de l'écurie n'est qu'une variante selon Sauber. "C'est une possibilité. Mais elle n'est pas prioritaire."
si/fayet