"Parce que je suis passé par tellement d'épreuves (réd: quatre opérations au genou droit). J'ai commencé sur le circuit en 2010 et j'ai eu de bons résultats, mais les blessures ont retardé mon développement. Ceci dit, j'ai toujours cru en moi et certaines personnes aussi, je veux d'ailleurs les remercier. Les médecins, les physios, ma famille, ma copine et mon ancien préparateur de skis."
"Je crois que j'aime cette piste et qu'elle me le rend bien. J'ai été bon dans la pente et aussi sur le plat final. Mais comme j'avais fait quelques petites erreurs, je ne pensais pas que cela suffirait. En voyant que j'étais devant avec seulement 17 centièmes, je me suis dit que j'allais peut-être remonter un peu mais qu'il manquerait quelque chose."
Si le Valaisan tient une aussi bonne forme, c'est parce que l'équipe de Suisse affiche une santé étincelante avec des jeunes qui poussent. "Je suis d'ailleurs toujours loin de Marco et de Loïc aux entraînements, se marre le Valaisan. Mais ça aide toute l'équipe d'avoir de pareilles locomotives."
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ats/bur