Et à ce petit jeu, les Suisses pourraient en profiter, eux qui ont aussi des arguments à faire valoir en super-combiné. C'est le cas notamment de Carlo Janka, qui s'était imposé en janvier à Wengen lors du premier super-combiné de la saison. En tête après la descente, le Grison avait ensuite bluffé son monde en seconde manche, résistant facilement au retour des slalomeurs.
Le slalom comme point faible
Dimanche à Beaver Creek, le skieur d'Obersaxen devra suivre la même stratégie: prendre le maximum d'avance en descente (dès 18h en Suisse), puis résister en slalom (22h15). Les trois autres Suisses engagés - Beat Feuz, Mauro Caviezel et Silvan Zurbriggen - sont condamnés à en faire de même, eux qui n'ont pas (ou plus) beaucoup d'affinités avec le slalom.
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si/bolt