"Je suis surpris en bien qu’il reparte dans cette direction-là. Il a toujours envie, il a toujours du plaisir, toujours envie de progresser. C’est un moteur suffisant pour se projeter encore 2 ans de plus", explique le consultant RTSsport.
"Il sait qu’il aura de la peine à être le meilleur sauteur du monde. Maintenant il est à un niveau un peu plus faible mais il reste dans une dynamique impressionnante de remise en question, de travail, d’essayer d’innover dans ce sport-là, d’essayer de vendre encore ce sport au niveau de la Suisse. Il fait beaucoup de bien à tout le monde", poursuit Sylvain Freiholz.
"Ca a été pendant longtemps une locomotive et on avait de la peine à accrocher les wagons derrière, détaille-t-il. Simon est un personnage qui a un effet catalyseur et il permet à beaucoup de monde autour de lui de pouvoir s’améliorer, se bonifier. La médaille de Killian Peier aux Mondiaux l’an dernier est l’exemple type de l’énergie que peut procurer Ammann au sein d’une fédération."
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