"Le problème, c'est que les gens présentent les superstars du sport comme des Supermen, comme si nous étions des surhommes", a-t-il expliqué lors d'un point-presse. "Je ne me vois pas comme ça, la perfection n'existe pas, tout le monde a ses défauts, moi aussi", a insisté le Bâlois.
"Je n'ai jamais cru que c'était quelque chose que je pourrais faire, j'ai seulement commencé à y penser lors des 2 derniers mois quand je suis arrivé à 96 ou 97 victoires", a assuré le joueur aux 20 titres du Grand Chelem, revenant sur sa victoire symbolique de la semaine passée à Dubaï.
Pour son entrée à Indian Wells, au 2e tour samedi, le no 4 mondial sera opposé à l'Allemand Peter Gojowczyk (ATP 85) ou à l'Italien Andreas Seppi (ATP 47). Il pourrait ensuite retrouver Stan Wawrinka.
ats/scho