Modifié

Federer entame sa tournée sud-américaine au son des "Te amo Roger!"

Moment de complicité à Santiago entre Federer et un de ses fans en tribunes qui venait de lui déclarer sa flamme. [AFP - Claudio Reyes]
Moment de complicité à Santiago entre Federer et un de ses fans en tribunes qui venait de lui déclarer sa flamme. - [AFP - Claudio Reyes]
L'affection pour Roger Federer ne connaît pas de frontière. Nouvel exemple au Chili, où un fan a hurlé "Je t'aime Roger!" lors d'un affrontement exhibition entre le Bâlois et Zverev à Santiago. Il s'agissait du premier match de la tournée sud-américaine du numéro 3 mondial.

Une série d'exhibitions en Amérique du Sud que Federer a bien débutée en s'imposant 6-3 4-6 6-4 contre l'Allemand Alexander Zverev dans la capitale du Chili.

Cette rencontre, la première des cinq prévus en six jours pour le Bâlois, a attiré quelque 12'800 spectateurs, malgré la vague de protestations au Chili. Dont un fan particulièrement heureux de le voir jouer sur le court en dur chilien, qui a même rendu Zverev quelque peu jaloux.

La tournée latino-américaine du Bâlois, qui devrait lui rapporter 10 millions de dollars selon Le Temps - soit plus que l'ensemble de ses gains cette saison (7,6 millions) - doit se poursuivre à Buenos Aires (mercredi soir), Bogota (vendredi), Mexico City (samedi) et Quito (dimanche). Roger Federer aurait initialement dû affronter Juan Martin Del Potro en Argentine, mais ce dernier a renoncé.

rens avec ats

Publié Modifié

"J'arrêterai de jouer quand mon corps me le dira"

"Ma retraite sportive dépendra de ma santé. Actuellement, je ne vois aucune raison d'arrêter", a déclaré Federer à des journalistes en marge de son premier match exhibition face à Zverev.

"Je ne pensais pas jouer au-delà de 35-36 ans et je suis toujours là!", a poursuivi le Bâlois avant de préciser se sentir "très bien physiquement" et de concéder qu'il ne pouvait pas "prédire le moment où il sera temps d'arrêter".

"Je me suis posé la question pour la première fois en 2009. Cela fait 10 ans et je suis toujours là, et c'est exactement où je voulais être à cet âge-là", a conclu le Bâlois.