"Pour les personnes en dehors du monde du tennis, Osaka est un visage assez nouveau avec une belle histoire", a déclaré pour Forbes David Carter, professeur en business du sport à l'Université de Caroline du Sud.
"En plus de cela, elle est jeune et a une double culture (son père est né à Haïti et sa mère est Japonaise), des attributs qui permettent à un plus grand nombre de jeunes de s'identifier à elle. Le résultat est l'émergence d'une icône mondiale du marketing sportif", a estimé David Carter.
Osaka pointe à la 29e place au classement des 100 athlètes les mieux payés établi par Forbes, quatre places devant l'Américaine Serena Williams et ses 23 titres en Grand Chelem, l'athlète féminine la mieux rémunérée ces quatre dernières années.
ats/adav