- Les Suissesses et vous en particulier semblez souvent vous surpasser lorsque vous jouez pour la Suisse. Peut-on l'expliquer?
BENCIC: Quand je joue pour moi et que je gagne, c'est bien sûr aussi un sentiment formidable, mais en équipe, l'émotion est encore plus grande. Cela me donne des ailes sur le terrain et j'espère que ça va continuer.
- Vous finirez l'année au 13e rang mondial. Quel est votre bilan?
BENCIC: Je dirais aussi que c'était une bonne année, même si je n'en ai pas une super impression. J'ai gagné un tournoi sur terre battue, c'était super. J'ai atteint les demi-finales à Miami. C'était une année solide, mais pas incroyable. En fait, j'attendais davantage de moi.
Un changement d'entraîneur
- Votre nouvel entraîneur s'appelle Dimitri Tursunov. Savez-vous déjà ce qui va concrètement changer?
BENCIC: Nous sommes encore en train de faire connaissance. Il a une vision très logique et veut que l'on simplifie beaucoup les choses. La pensée du tennis féminin est très différente de celle du tennis masculin. Cela m'aiderait beaucoup s'il pouvait m'apprendre à penser plus clairement sur le court.
ats/bur
"La motivation est là"
A la question de ses performances en Grand Chelem: "Je n'ai pas dépassé le 3e tour. D'un autre côté, c'est aussi positif pour l'année prochaine. Cela me permet de viser plus haut. Mais être numéro 13 mondial, ce n'est vraiment pas mal. En tout cas, la motivation est là pour me permettre de m'améliorer encore."
Participation confirmée à la United Cup
"Nous y jouerons. L'équipe n'est pas encore définitive, mais Stan (Wawrinka), Hüsler, Stricker seront là. Je trouve ça cool, c'est enfin une vraie compétition mixte."