Les pics de température du côté de l'
Open d'Australie
n'en finissent plus de faire couler de l'encre. Ce jour, ils volent la vedette à Federer et Wawrinka notamment dans les colonnes de la "Tribune de Genève". Sous un cagnard intenable, les organisateurs ont fini par interrompre les rencontres, hélas trop tard pour
Stefanie Voegele
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Laminée 6-0 6-1 par la Slovaque Dominika Cibulkova, l'Argovienne témoigne: "Les jambes flageolent, on a la sensation qu'elles pèsent 15 kilos de plus."
Federer ne tremble pas
Si Federer s'est imposé "en patron" 6-2 6-1 7-6 devant le Slovène Blaz Kavcic, il n'oublie pas la chance qui a été sienne de pouvoir jouer sur un court climatisé. "Franchement, je n'avais jamais subi une chaleur aussi extrême. Alors, pouvoir se réfugier à l'abri dans la Hisense Arena, c'était le bon plan", reconnaît le Bâlois.
Mais Wawrinka a connu une qualification encore plus expéditive. Le Vaudois n'a ainsi pas eu besoin de se risquer sous le soleil torride dans la nuit de jeudi à vendredii. Pour lui, "c'est déjà dimanche" et les huitièmes de finale grâce à l'abandon du Canadien Vasek Pospisil en raison de douleurs au dos. Stan affrontera le Français Richard Gasquet ou l'Espagnol Tommy Robredo.
Une défaite qui fait mal
Le derby lémanique de LNA entre le Lausanne HC et le Genève-Servette HC a viré au cauchemar pour les Vaudois, battus 2-1 après prolongation à Malley. Selon "24 Heures", "le LHC voit d'un coup ses rêves s'estomper".
Le gardien
Cristobal Huet
revient pour le quotidien vaudois sur le tournant du match. "C’est le scénario catastrophe! On a livré un gros match. Genève a aussi eu ses bonnes périodes. Et puis sur l’action du 1-1, Hytonen casse sa canne devant la cage ouverte. Sur le contre, Almond utilise le défenseur pour masquer son tir. J’ai une mauvaise lecture, mais ça va très vite", explique le Français. "On savait que cette fin de semaine serait difficile. Mais on va pousser, encore et encore."
Le mythe du Lauberhorn
"L'Express/L'Impartial", "La Liberté" et "Le Nouvelliste" reviennent sur le mythe de la descente de Wengen, prévue samedi. "Une classique hors du temps" qui a notamment bâti sa légende sur le Hundschopf. "C'est le passage le plus impressionnant", souligne Didier Défago. "Tu plonges dans une sorte de trou, avec le sentiment que tu vas atterrir dans une immense flaque noire tellement il y a de public au fond. C'est quelque chose de vraiment impressionnant."
Le ski féminin n'est pas oublié par "20 minutes", qui se penche sur le cas de Dominique Gisin. L'Obwaldienne aborde l'étape de Cortina, où elle a déjà gagné en 2009, avec l'espoir de retrouver son "flow", "cet état mental" où tout fonctionne à merveille.
Ludovic Perruchoud
La saison des camps d'entraînement
"Le Matin" s'interroge lui sur les camps d'entraînement à l'étranger des équipes de Super League, une "expérience" qui "peut s'avérer enrichissante". L'ancien joueur de Sion Christophe Bonvin se souvient de "moments magiques et privilégiés". "On se trouvait tous ensemble, à fonctionner de façon solidaire, et après, on remerciait le président sur le terrain. A chaque fois qu’on a fait un camp à l’île Maurice, on a ramené la coupe."
Sepp Blatter n'est pas avec Linda Barras
"Le Nouvelliste" revient sur la liaison prêtée par le "Blick" à Sepp Blatter avec Linda Barras. "La seule chose qui est vraie, c'est que ma femme a assisté au gala du Ballon d'Or. Nous sommes toujours ensemble avec Linda", a expliqué le mari de Madame Barras.