Le projet sédunois, porté par Christian Constantin et la Chambre vaudoise du Commerce et de l’Industrie s'est uni aux projets bernois "Switzerland 2026" et "2026 - Games for our future".
Le dossier présente un dispositif olympique de 14 sites sportifs et 4 non-sportifs qui répondent au double objectif de réduire les investissements et de valoriser les infrastructures sportives existantes. Le dispositif final des sites sera décidé une fois le choix d’une candidature suisse entériné par le Parlement du sport. La ville hôte sera Sion.
Avant le choix de Swiss Olympic, les citoyens grisons devront, quant à eux, d'abord voter, le 12 février prochain, sur un crédit de candidature de 25 millions de francs et sur le projet en tant que tel.
D'ici là, l'exécutif grison entend régler plusieurs questions en suspens, dont celle des sites accueillant les compétitions de patinage de vitesse et les tournois de hockey sur glace. Il choisira une ville hôte - St-Moritz ou Davos - si les autorités sportives suisses se prononcent en mars 2017 pour la candidature grisonne.
La Suisse a déjà organisé deux fois les Jeux olympiques d'hiver, à St-Moritz en 1928 et 1948. Elle a aussi connu deux échecs: Sion avait échoué par deux fois, pour les Jeux de 2002, finalement accordés à Salt Lake City, et de 2006, qui s'étaient déroulés à Turin.
ats/adav