![Pendant la procédure, Swiss Volley prévient qu'elle ne prendra pas position sur la procédure en cours. [AP]](https://img.rts.ch/articles/2022/image/93nfqs-27691866.image?w=1280&h=720 "Pendant la procédure, Swiss Volley prévient qu'elle ne prendra pas position sur la procédure en cours. [AP]")
L'entraîneur de Val-de-Travers suspendu pour manquement à l'éthique
Swiss Sport Integrity a engagé une procédure contre l'entraîneur principal de l'équipe de Val-de-Travers de LNA dames, afin d'enquêter sur des présumées violations de l'éthique.
Le Brésilien Luiz Souza est également suspendu temporairement de toutes ses activités d'entraîneur. En outre, il se voit accorder un délai pour prendre position. Swiss Sport Integrity (SSI/anciennement Antidoping suisse) confirmera ou annulera ensuite la décision.
![Luiz Souza, l'entraîneur, se défend de ces accusations. [DR]](https://img.rts.ch/articles/2022/image/mm4yy3-27691857.image?mw=1280 "Luiz Souza, l'entraîneur, se défend de ces accusations. [DR]")
A la lecture d'Arcinfo et du site de RTN, on comprend que SSI a reçu plusieurs dénonciations concernant le club de Val-de-Travers et plus particulièrement concernant le comportement du coach Luiz Souza. Les joueuses de l'équipe neuchâteloise, qui ont témoigné de manière anonyme auprès de SSI, comme elles en ont le droit, ont été averties au début de cette semaine que Luiz Souza était en "arrêt maladie". Plusieurs d’entre elles ont entrepris cette démarche afin de dénoncer la maltraitance psychologique dont elles sont les victimes.
Plusieurs témoignages recueillis par RTN font également part de dysfonctionnements à l'interne. Selon ces sources, Luiz Souza a été "régulièrement agressif", voire insultant envers l'équipe et le staff de l'équipe.
ats/ace
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Pas une première...
Ce n'est pas la première fois que des faits similaires sont reprochés à Luiz Souza, qui est arrivé à Val-de-Travers en 2017. En mars 2020, plusieurs joueuses avaient été licenciées par le club pour avoir dénoncé le comportement de leur entraîneur, rappelle Arcinfo. Le coach mis en cause nie toutes insultes directes envers les joueuses.