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Un rapport très attendu mardi. L'Agence internationale de l'énergie atomique dévoilera ses conclusions sur le programme nucléaire iranien. Dans une atmosphère diplomatique tendue, Israël évoque de plus en plus l'option militaire contre Téhéran. Lundi, Moscou s'y est farouchement opposée. Opposition aussi en France. Les Etats-Unis ont assuré quant à eux que l'option diplomatique restait prioritaire, sans exclure totalement une action militaire. Pour sa part, l'Iran assure toujours que son programme nucléaire n'est que civil. Par le correspondant de la RSR à Téhéran, Siavosh Ghazi.

C'est toujours l'attente en Grèce. Les négociations sur la formation d'un gouvernement d'union nationale se poursuivent à Athènes. Le nom du nouveau premier ministre pourrait être annoncé dans la journée. Une correspondance d'Adea Guyot.

Le rapport de l’Agence internationale sur l’énergie atomique devrait sortir mardi son rapport sur l’Iran. Selon des fuites parues dans la presse, ce rapport devrait démontrer que Téhéran, malgré ses dénégations, développe un nucléaire militaire. En Israël, l’idée d’une attaque préventive des installations iraniennes est soutenue par le premier ministre et le ministre de la Défense. Mais Israël ne veut pas être le seul va-t’en guerre et cherche à rallier d’autres pays à l’idée d’une frappe, ou du moins d’exercer un maximum de pression sur Téhéran. Par la correspondante de la RSR à Tel-Aviv, Aude Marcovitch.

C’est dans un climat diplomatique particulièrement pesant que L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) va publier mardi son rapport sur l’Iran. L’AIEA devrait établir que Téhéran mène diverses expériences qui ne peuvent se justifier que dans le cadre d’un programme militaire. De quoi renforcer les soupçons des Occidentaux, alors qu’en Israël on évoque la perspective d’une option militaire. L’Iran affirme que son programme est uniquement civil, mais les taux d’enrichissement d’uranium laissent planer des doutes. Les explications du journaliste Marc Wolfensberger, spécialiste de l’Iran.