Le Journal du matin

Présenté par Frédéric Filippin.

Par Ariane Hasler.

En Turquie, des protestants ont remis une pétition aux Parlementaires pour demander une plus grande liberté religieuse. Comme d’autres minorités religieuses, ils montrent du doigt le régime du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan. Par Tania Buri.

Par Stéphane Deleury.

La guerre des cartes numérique existe bel et bien. Sur le champ de bataille, on trouve évidemment Google, avec ses incontournables Google Street View, Google Earth, Google Maps, mais aussi Tom Tom et depuis lundi, un nouveau combattant, et pas n'importe lequel: Apple. Le groupe informatique a décidé d'équiper ses iPhones et iPad avec ses propres cartes numériques dès l'automne. Une manière de se passer des services de Google (qu'Apple utilisait jusqu'ici), mais surtout de proposer sa propre lecture du monde. Car une carte, c'est aussi une vision du monde, avec des enjeux économiques et géostratégiques. Invité: Pierre Dessemontet, géographe, co-fondateur de Microgis, collaborateur scientifique de l'EPFL et conseiller communal socialiste à Yverdon.

Tigres del Norte "Jefe de jefes" Gaza meets Geneva "First round" Guy Bélanger "Crossroads"

Présenté par Didier Duployer.

Comment obliger un parlementaire à se taire? Par Alexandra Cohen.

La téléphonie mobile classique telle qu'on la connaissait jusqu'ici n’existe plus. En effet, c’est un monde en pleine mutation: on ne raisonne désormais plus en termes de conversations ou de SMS envoyés, mais en termes de données. Swisscom prévoit une multiplication par cent du trafic de ces données dans les sept prochaines années et a lancé mercredi un nouveau système de tarification pour faire face à la multiplication des services gratuits sur smartphones. Les précisions de Rouven Gueissaz.

Les Grecs se rendent aux urnes ce dimanche 17 juin pour des élections législatives jugées cruciales quant à l’avenir de la Grèce dans la zone euro. Alors que les partis traditionnels, socialistes et conservateurs, se sont effondrés lors des législatives précédentes, la gauche radicale anti-austérité bataille pour la première place. Toutefois, les petits partis joueront le rôle d’arbitre dans la future coalition. Par la correspondante de RTSinfo à Athènes, Angélique Kourounis.

On ne parle que d'elle et de son tweet: Valérie Trierweiler, première dame de France, a encouragé le concurrent direct de Ségolène Royal aux élections législatives alors son compagnon François Hollande faisait montre de son soutien à Ségolène Royal. Certains voient une faute politique dans cette prise de position, d’autres considèrent qu’il s’agit d’un problème de rivalité féminine. Il n’en est rien: selon Eric Widmer, sociologue de la famille à l’Université de Genève, Valérie Trierweiler a fait preuve d'individualisme familial. Son interview.

Un commentaire de Pascal Jeannerat. Le débat continue sur http://signature.rts.ch

C’est une ligne très restrictive sur le droit d’asile qu’a adopté ce mercredi le Conseil national. Parmi les mesures adoptées par la chambre du peuple: les requérants d’asile n’auront plus droit à l’aide sociale, mais seulement à l’aide d’urgence et les déserteurs ne pourront plus obtenir le statut de réfugié. Ce sont autant de mesures qui visent à rendre la Suisse moins attractive pour les requérants, mais qui n’en restent pas moins controversées. Au sein du Conseil d'Etat genevois, François Longchamp est en charge du département de la Solidarité et de l'Emploi.

Mercredi, les principales places financières européennes ont clôturé sur un regain de faiblesse. L’analyse de Marie-José Vuaillat, cheffe économiste à la Banque cantonale de Genève, qui commente la réaction des marchés aux Etats-Unis et en Asie, ainsi que la position de la Banque nationale suisse (BNS) ce jeudi.

Présenté par Lorence Milasevic.

"Première gaffe de France", "ministre de la Jalousie"... Des qualificatifs peu élogieux pleuvent sur Valérie Trierweiler, la première dame française, après son message posté mardi sur Twitter. La journaliste y encourageait le candidat rival de Ségolène Royal, l'ex-femme du président François Hollande. La presse française et internationale en fait ses choux gras. Quant à la droite, elle ne se prive pas d'ironiser sur ce "ménage à trois". Valérie Trierweiler a été claire depuis le début: malgré l'élection de son compagnon à la présidence de la République française, elle ne quittera pas ses fonctions de journaliste. Elle a promis de mener sa vie en toute indépendance. Quel rôle doivent tenir les époux de dirigeants politiques?