Le 12h30

Les Suisses sont fatigués de payer des tarifs élevés. Ils l’on fait savoir à Stefan Meierhans, le Surveillant des prix, qui a enregistré un chiffre record de près de 2800 réclamations en 2012. 20% d’entre elles visaient La Poste. Par Céline Fontannaz.

Une clientèle qui augmente et des résultats en hausse: le groupe bancaire Raiffeisen a bouclé l'année 2012 sur une note positive. Le bénéfice a augmenté de plus de 6% à 634,8 millions de francs. Raiffeisen, qui se targue de compter 3,7 millions de clients en Suisse, continue son ascension notamment dans le secteur hypothécaire. Par Katja Schaer.

Rien ne va plus pour les joueurs de Bellinzone. Les footballeurs du premier club tessinois de Challenge League sont privés de salaire depuis trois mois et les promesses à répétition du président sont restées sans suite. Le délai imparti à l’Association de football de Bellinzone par la Swiss Football League pour confirmer le versement des arriérés est arrivé à échéance jeudi. Désormais, la sanction menace: le club risque sa licence. Par Nicole della Pietra.

Un sponsoring agressif et atypique: l'entreprise Red Bull attache son logo à un grand nombre d'événements "sportifs", pas toujours traditionnels. La prochaine manifestation a lieu ce samedi à Lausanne, dans le canton de Vaud. Il s'agit du "Red Bull Crashed Ice", quatrième étape du Championnat du monde de patinage extrême, une pratique sportive créée de toutes pièces par Red Bull. Par Loïs Siggen Lopez.

Il n'est pas question qu'Yvan Perrin renonce à sa candidature au Conseil d'Etat neuchâtelois. Ces propos viennent de son chef de campagne, le député UDC Walter Willener, revenu d'un déplacement à l'étranger. Ce dernier dément aussi que l'UDC ait lâché Yvan Perrin ces derniers jours et regrette que le coordinateur romand du parti, Claude-Alain Voiblet, n'ait pas joué pleinement son rôle de porte-parole. Pour le reste, Walter Willener répète ce qu'il a dit plusieurs fois: "j'ai connu Yvan Perrin en meilleure forme". Par Roger Guignard.

Entre l'assassinat de l'opposant Chokri Belaïd et la formation attendue d'un nouveau gouvernement, les Tunisiens ont un troisième sujet de discussion cette semaine: le "Harlem Shake", ce phénomène mondial qui - en Tunisie - fait un peu plus débat qu'ailleurs. Il s'agit de vidéos dans laquelle des gens dansent, déguisés, sur une musique techno. Samedi dernier, des lycées en ont réalisé une, dans la cour de leur établissement, à Tunis. Mais la vidéo, un peu osée et provocatrice, a suscité la réaction du ministre de l'Education nationale qui a demandé l'ouverture d'une enquête administrative. Cette affaire a surtout prouvé une fois de plus que la Tunisie est divisée. Par le correspondant de RTSinfo à Tunis, Thibaut Cavaillès.

L’interaction entre le développement durable et la culture du profit ou de la consommation est aujourd’hui dans une impasse. Il faut reconsidérer tout cela en donnant de nouvelles impulsions qui peuvent générer des changements de mentalité. C’est l’objectif ambitieux du Congrès nature qui se déroule ce vendredi à Bâle. Les quelque 600 participants vont tenter de trouver de nouveaux modèles économiques sans mettre en danger les diversités culturelle et naturelle. Par Gaël Klein.

L'armée chinoise est la cible d'innombrables attaques informatiques, dont les deux tiers proviennent des Etats-Unis. C'est ce qu'annonçait ce jeudi le ministère chinois de la Défense, quelques jours après la publication d'un rapport américain qui dénonçait les activités de piratage informatique menées par l'armée chinoise. Par le correspondant de RTSinfo à Pékin, Alain Arnaud.

Le téléphone portable a 30 ans. Toute la semaine, nous vous proposons une série de portraits de personnalités romandes, de l'entrepreneur au sportif d'élite en passant par le politicien. Quel rapport ces personnages entretiennent-ils avec le téléphone portable? Comment cet outil a-t-il influencé leur façon de travailler, de communiquer et parfois même de vivre? Ce vendredi, portrait d'un homme plutôt réticent, mais qui a très vite capitulé: Didier Cuche, ancien skieur.

Elle est née Olivier Chaumont. Aujourd'hui, devenue Olivia Chaumont, cette femme d'une cinquantaine d'années revient sur ce qui l'a décidé à changer de sexe. Fin 2009, elle se rend en Thaïlande pour passer d'homme à femme. Parcours physique et psychologique très difficile, qu'elle raconte dans un ouvrage, "D'un corps à l'autre", publié aux éditions Robert Laffont. Olivia Chaumont sait depuis qu'elle est enfant que son corps n'est pas le bon. Ce témoignage est aussi celui d'un transsexuel franc-maçon, qui deviendra ensuite la première femme intronisée officiellement au Grand Orient de France (GOF). Elle milite aujourd'hui pour le doit à la reconnaissance des transsexuels.