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La législature qui s’ouvre sera certainement plus difficile que la précédente pour le goupe UDC aux chambres fédérales. Il y a tout d’abord la perte numérique d’influence. Si la formation reste la première du pays avec plus de 26% des voix, le groupe parlementaire a perdu 6 membres et compte désormais 62 sièges. Et la collaboration entre les partis bourgeois pourrait bien être plus difficile. L’attaque contre les libéraux-radicaux lors du renouvellement du Conseil fédéral a laissé des traces. Mais d’un point de vue programmatique l’UDC maintient le cap. Par Romain Clivaz.
L'UDC va au devant de plusieurs défis