Le Journal du matin

Présenté par Valérie Droux.

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C’est un concept qui se développe depuis quelques années dans les grandes villes, à New York, Londres, Montréal, et en Suisse aussi des projets sont à l’étude: l'agriculture urbaine s'invite dans nos cités. Visite d'une "Urban Box" avec Alexandra Richard, cette mini-ferme urbaine qui permet de produire des légumes et des poissons. Cette production d’ultra-proximité, pour l’instant à l'état de prototype, a pour objectif de répondre à une demande croissante des consommateurs urbains. Invité: Pascal Boivin, responsable de la filière agronomie à l’Hepia.

"Bienvenue à Cuba, pèlerin de la charité". C’est en ces termes que la population cubaine accueillera ce lundi Benoît XVI. Mais, contrairement au Mexique en grande majorité catholique et qu’il vient de visiter, le pape va trouver à Cuba une multitude de confessions religieuses. Par Marie-Claude Cudry.

Présenté par Stéphane Deleury.

Son petit nom: Watson. Son job: banquier chez Citigroup, ou plus précisement, étudier en quelques secondes un nombre record de données qui serviraient à l’analyse d’informations financières et économiques et - potentiellement - à l’évaluation de portefeuilles d’investissement. Ses amis: les professionnels de la finance qui pourraient ainsi s’appuyer sur ses compétences. Un superordinateur d'IBM vient de trouver du boulot! Invité: Nicolas Nova, enseignant à la Haute Ecole d'art et de design de Genève et consultant.

Aissa Djermouni - El Karma Abdel Halim Hafez - Kololo Hadj El Anka - Lehmam

Présenté par Didier Duployer.

Pourquoi s’engager encore en politique? Dans quel parti? Pourquoi soutenir tel candidat à l’élection présidentielle alors que les marges de manœuvres politiques semblent de plus en plus restreintes en cette période de crise économique? Que pense l’entourage d’un tel engagement politique, au sein de tel ou tel parti? La rédaction radio de la RTS propose durant quatre semaines les portraits de cinq militants soutenant cinq candidats, pour mieux comprendre la France qui vote et se choisit un nouveau président. Ce lundi, Françoise Coolzaet, militante du Front national à Lille, suivie par Céline Tzaud.

Un commentaire de Vincent Bourquin. Le débat continue sur http://signature.rts.ch/.

Personne ne pariait gros sur la réélection de Nicolas Sarkozy il y a quelques semaines. Le président de la République française allait jusqu’à évoquer lui-même une possible défaite. Ce lundi 26 mars, à quatre semaines du premier tour du scrutin, le président-candidat retrouve des couleurs. Les sondages le donnent quasi à égalité avec son principal rival, François Hollande, au premier tour. Le candidat socialiste conserve certes un avantage assez net dans l’optique du deuxième tour, mais la campagne a clairement pris une tournure beaucoup plus serrée. Il y a quelques semaines nous recevions Nicole Castioni, candidate socialiste des Français de l’étranger pour évoquer l’élection présidentielle. Ce lundi 26 mars, l'invité du Journal du Matin, sur RTS La Première, est Etienne Blanc, député UMP et le maire de Divonne.

Vendredi, les places financières européennes et américaine ont bouclé la semaine à la baisse. Les investisseurs ont fait preuve de prudence. L'interview de Patrice Gautry, chef économiste à l'Union bancaire privée (UBP).

Présenté par Lorence Milasevic.

L'enseignement du français pourrait encore perdre un peu de terrain en Suisse alémanique. Échaudé par les mauvais résultats des élèves zurichois dans les études PISA, un syndicat d'enseignants zurichois recommande de dispenser les élèves les plus faibles de certains enseignements, au profit des mathématiques et de l'allemand. Le français, cette langue mal-aimée des enfants et des adolescents, est en première ligne dans le collimateur des enseignants. Depuis plusieurs années, l'anglais met la pression sur les trois principales langues helvétiques. Plus facile à apprendre, plus pratique dans les échanges internationaux: la langue de Shakespeare séduit davantage les jeunes générations et certains milieux professionnels. Le français ennuie les Alémaniques, l'italien ne séduit plus, l'allemand barbe les Romands. Renoncer aux langues nationales nuit-il vraiment à la cohésion du pays?