Les applications météo, les puffs et les emprunts hypothécaires

Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien.

Au programme aujourd'hui:
1. Applications météo: comment choisir?
2. Au secours, mon enfant fume des puffs
3. Guichet: les crédits hypothécaires

Météosuisse vient de lancer une nouvelle version de son application. Le design est rafraîchi et son utilisation est facilitée, avec de nouvelles cartes et de nouvelles fonctionnalités. Mais qu'est ce qui fait une bonne application météo? Elles sont plusieurs centaines, gratuites ou payantes, à se disputer un marché qui dépasse le milliard de francs annuel, même si la rentabilité n'est pas l'objectif principal.

Météoswiss, l'application de l'Office fédéral de météorologie et de climatologie, a été téléchargée par plus de 4,8 millions de personnes. Entre 700'000 et 1,8 millions d'utilisatrices et utilisateurs l'utilisent quotidiennement. L'application "Landi météo", aussi populaire, renseigne plus de 130'000 personnes chaque jour. Alertes, prévisions, température, évolution probable, radar, mais aussi taux de pollens, température des plans d'eau, feux de forêts ou avalanches: les options sont multiples.

Préinstallées ou téléchargées, les applis météos fonctionnent sur presque toutes les plateformes. Basées sur des modèles américains ou européens, elles sont souvent mises à jour automatiquement, parfois enrichies par un prévisionniste. On y trouve la météo locale, mais aussi parfois, le temps qu'il fait dans de nombreuses villes du monde.

Cependant, aucune application n'est fiable à 100%. Les distingos sont liés à la qualité graphique de l'interface, à la précisions des sources locales, à la variété des informations fournies.

Josué Gehring, météorologue, est l'invité de François Jeannet.

Si la Suisse compte une majorité de locataires, l’accès à la propriété est tout de même un souhait formulé par de nombreux résidents et résidentes de notre pays. Toutefois, la rareté de l’offre ou les prix élevés sont des obstacles importants.

Devenir propriétaire implique de s’adresser à des établissements bancaires pour financer son projet via un crédit hypothécaire. C’est là qu’interviennent les notions de capacité financière, de fonds propres, de 1er ou 2e rang, d’amortissement, de fiscalité, de taux variable ou fixe à choisir avec une durée. Ce type de crédit se contracte à long terme, il faut le renouveler, parfois le faire évoluer si l'on souhaite par exemple faire des travaux. Et que se passe-t-il lors de sa transmission par exemple?

Nos invités et spécialistes répondent à vos questions:
- Dimitri Cassard, responsable adjoint Romandie chez MoneyPark - une entreprise Helvetia;

- Christophe Brun, responsable régional romandie Banque Cler.